Lors d'un concert à Cracovie, la violoniste Régina découvre que son violon a appartenu à son oncle déporté à Auschwitz. C'est l'histoire de ce violon que relate l'auteur.
Nous sommes dans le camp d'Auschwitz où Daniel est déporté. Son métier de menuisier lui permet d'échapper aux durs travaux du camp et de survivre. Lors d'un concert demandé par le commandant du camp, celui-ci veut punir Bronislaw, un violoniste qui joue faux. Daniel va le défendre incriminant la mauvaise qualité du violon et va proposer de le réparer. Satisfait de cette réfection, le commandant va demander la fabrication d'un violon dont le son sera identique à un Stradivarius.
Ce que j'ai retenu de cette lecture c'est le contraste qu'il y a entre la beauté du violon, de l'amour de Daniel pour le fabriquer et la rudesse et la cruauté des camps.
En début de chapitre, l'auteur ajoute quelques faits réels de le vis en camp qui remet très vite le lecteur dans le contexte...