Tahar va mourir. Autour de son lit d'hôpital, il y a sa femme française, son fils muet de naissance et son beau-père chrétien. Toute sa famille est là car à la fin de la guerre d'Algérie, il a choisi de vivre en France à Paris. Il n'est jamais revenu dans son pays de naissance, mais l'Algérie est restée très présente dans sa mémoire.
Ce sont ses souvenirs qui sont relatés dans ce roman: l'arrivée à Marseille, les souvenirs d'école et le racisme des français, la cruauté des fellagas et des soldats français, l'exil ...
Une écriture particulière, écrite à plusieurs voix qui ne m'a pas aidée à rentrer dans cette histoire réelle.