Un article est déjà publié sur ce site, et après lecture, je vous propose de vous rendre sur Wikipedia qui analyse de façon très précise ce livre.
Voici un extrait parmi tant d'autres....
"Vers seize heures trente, le temps s'était considérablement rafraîchi.
Les gens réclamèrent sur le ton de la plaisanterie qu'on allume le feu, histoire de se réchauffer. "Toutes ces saletés ne sont bonnes à rien d'autre, d'ailleurs!"
Les saletés en question furent apprortées sur des charrettes et déchargées au milieu de la place, puis arrosées d'un liquide à l'odeur douceâtre. Parfois, des livres et des papiers glissaient ou se détachaient de la pile, mais ils y étaient remis à chaque fois.
De loin, le tas ressemblait à un volcan, ou à un grotesque objet étranger qui aurait atterri par miracle en pleine ville et qu'il fallait anéantir au plus vite.
L'odeur flottait...."
"Les humains aiment bien, le spectacle d'une petite destruction, me semble-t-il. Ils commencent par les châteaux de sable et les châteaux de cartes et ils vont de plus en plus loin. Ils sont particulièrement doués pour ça."
Beaucoup de sous-entendus, d'autant plus que le narrateur est LA MORT....